J’adore les road trips. Ils sont synonymes de liberté, ils invitent à la spontanéité et au lâcher prise. Pour moi, c’est ça la vraie définition du voyage. À différencier, d’ailleurs, avec le terme « vacances », que j’envisage comme plus reposantes et plus immobiles.
Dans un road trip, les choses ne se passent jamais exactement comme on les a prévues. On est obligé de se laisser surprendre, on vit des expériences inattendues, des écueils qui nous font grandir et nous apprennent la débrouillardise.
Bon, l’idée, c’est quand même d’en éviter au maximum et ça commence par opter pour une voiture qui « tient la route ». Si vous avez besoin d’en acheter une, vous trouverez certainement votre bonheur sur BYMyCar.
Avant de partir, vérifiez si vous avez des câbles pour la batterie, si les pneus sont bien gonflés, si le chargeur USB fonctionne (pour charger votre téléphone)… Si vous louez un véhicule, ne lésinez pas sur le confort: vous passerez beaucoup de temps dans l’habitacle, il faut que le trajet soit agréable.
Maintenant que ces considérations automobiles sont évacuées, voici comment organiser son road trip de la meilleure façon.
On prévoit assez de temps
Quitte à prendre la route, autant avoir du temps devant soi pour en profiter. Un bon road trip se fait en minimum en 15 jours révolus, 21 jours idéalement. On pose ses congés à temps.
On réserve ce qu’il y a à réserver
Je vous le disais: pour moi, prendre la route, c’est synonyme de liberté. Mais ça ne veut pas dire qu’on ne planifie pas son voyage à l’avance. L’aventure, c’est génial mais sur certaines portions du voyage, il faut peut-être planifier un peu plus les choses pour que ça se passe bien.
Pour éviter de se retrouver face à une route fermée à cause du mauvais temps, ou dans un coin perdu où tous les logements affichent complet: on s’intéresse à la météo locale, on lit les expériences d’autres voyageurs sur des blogs, des forums ou sur les réseaux sociaux et on en tire des leçons. On réserve son hôtel dans les endroits plus reculés, pour ne pas se retrouver à 23 heures le bec dans l’eau, on étudie les kilomètres à parcourir pour que les distances soient aussi raisonnables que possible (mais on ne se fait pas d’illusion, on est là pour conduire et manger du bitume) et surtout on épingle les points d’intérêt qu’on ne veut pas manquer.
Les applications parfaites pour organiser son road trip
- Trello
Sur Trello, je fais la liste de tout ce que je veux voir le long du trajet. Des endroits dans lesquels je veux absolument m’arrêter, des logements que j’ai repérés… Tout est organisé sous forme de tâches à effectuer. Je peux suivre mon planning, savoir ce que je dois encore réserver ou payer…
- Googlemaps
Sur Googlemaps, j’épingle chaque stop, j’étudie les routes alternatives… Quand mon itinéraire est tracé, je remarque souvent que j’ai fait quelques erreurs d’appréciation, que je dois inverser deux visites pour faire moins de kilomètres…
Sur Instagram, je cherche l’inspiration. J’épingle des REELS, je note les bonnes adresses…
- Waze
Grâce à Waze, j’évite les embouteillages lors du voyage.
- HotelTonight – Booking
HotelTonight et Booking installés sur mon téléphone me permettent de réserver des logements instantanément sur la route.
- Spotify – Apple Music
Je télécharge des podcasts susceptibles de plaire à toute la famille et je prévois mes playlists sur Spotify ou les app Apple.
J’opte pour une carte eSIM pour avoir de la 4G partout pas cher
Je ne prends pas de carte SIM locale, j’installe une carte eSIM HolaFly avant de partir et j’active les données mobiles une fois arrivée à destination. C’est un forfait illimité, je peux donc sans crainte utiliser mon téléphone comme GPS avec Waze. J’ai accès à mes mails pour vérifier les derniers détails de mes réservations, aux moteurs de recherche si mes plans ont changé et que je dois rebondir sur autre chose, aux réseaux sociaux pour partager mes photos en direct… Avec le code SEAYOUSON, vous avez 5% de réduction sur votre forfait HolaFly.
J’ai toujours de quoi boire et manger avec moi
En road trip, on n’a pas toujours le temps de se faire un resto. Ni l’envie ni les moyens d’ailleurs. Et aux USA, par exemple, on ne trouve que des fast food au bord de la route, on peut vite arriver à saturation. J’ai toujours de quoi grignoter et de quoi boire dans la voiture. Avoir l’estomac vide trop longtemps, ça peut mettre de mauvaise humeur. On remédie au problème avant qu’il ne se présente, donc.
Je prévois des plages de repos
On n’est pas là pour souffrir. Il faut donc parfois se reposer, pour reprendre le volant avec enthousiasme. Je prévois des stops de 2 nuits dans un endroit avec plusieurs possibilités de visites. Ca me permet d’avoir une journée complète sur place, sans devoir penser logistique et valises.
Je ne me fais pas d’illusions
Je sais que je ne pourrai pas tout voir en un seul voyage, je fais le deuil de certaines activités si le détour est trop long. Je ne crois pas non plus qu’un road trip coûte forcément moins cher qu’un voyage plus traditionnel. Il faut payer la location de voiture, l’essence, les assurances, les repas improvisés, les logements… La note peut vite grimper. Mais honnêtement, cette sensation de liberté infinie qu’offre le road trip n’a pas de prix.
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