Le mois de mars est déjà bien entamé mais je m’arrête un instant pour vous faire la liste de tous les livres que j’ai installés sur ma tablette Kindle histoire de vous inspirer. Si vous ne savez pas quoi lire, voici quelques idées de lectures pour le mois de mars et le printemps qui arrive.
Table des matières: mes lectures de mars
La dernière allumette de Marie Vareille
La dernière allumette de Marie Vareille (éditions Charleston) est un roman à la fois triste et lumineux, l’histoire bouleversante d’un frère et d’une sœur. Gabriel est un dessinateur pour enfant reconnu, mais sombre et solitaire. À la suite d’un événement traumatisant dont elle se souvient assez peu, Abigaëlle a fait vœu de silence et est entrée au couvent. Quand Gabriel tombe sous le charme de Zoé, Abigaëlle panique: il faut qu’elle protège cette femme qu’elle ne connait pas de son frère dont elle seule connait la noirceur. Je vous parle ici dans le détail de ce livre aux sujets forts, qui nous manipule tout le temps et nous emmène là où ne pensait pas aller. Sa conclusion est bouleversante.
Un animal sauvage de Joël Dicker
Celui-là, je l’ai déjà lu aussi et je vous dis tout ce que j’en ai pensé ici. Un animal sauvage est du Joël Dicker. C’est-à-dire que c’est un roman efficace, qui va droit au but et ne s’embarrasse pas de style littéraire particulier. Je l’ai trouvé efficace et moins alambiqué que les précédents romans de l’auteur suisse. L’histoire se passe à Genève. Un braquage s’organise dans une bijouterie du centre-ville. On fait la rencontre de deux couples: un couple aussi beau qu’amoureux et riche, et un autre, leurs amis, gentils, admiratifs, voire envieux du premier. Les deux duos vont être impliqués de près ou de loin dans le casse de la bijouterie. Forcément, sinon il n’y a pas d’histoire…
L’homme que je ne devais pas aimer d’Agathe Ruga
Agathe Ruga vient de sortir Rendez-vous à la porte dorée mais je suis entrée dans son univers avec L’homme que je ne devais pas aimer, son précédent roman paru chez Flammarion. C’est l’histoire d’une mère de trois enfants qui envoie tout valser pour le regard d’un barman. Cette mère de famille, c’est Agathe elle-même. L’auteur pratique l’autofiction avec un je ne sais quoi de malaisant. Je vous en parle dans le détail ici.
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Le ciel ouvert de Nicolas Mathieu
De Nicolas Mathieu, j’ai adoré Leurs enfants après eux, qui lui a valu le Goncourt et qui sera bientôt adapté au cinéma avec Gilles Lellouche, et Connemara, le roman qui a suivi. Le ciel ouvert (édité par Actes Sud) est un peu particulier: c’est un recueil de textes qu’il a publiés sur Instagram et qu’il adressait à une femme qu’il aimait, avec laquelle il a entretenu une liaison mais qui n’était pas libre. Il raconte l’amour, le désir, la solitude des chambres d’hôtel, les commencements et les départs, les draps froissés, les gueules de bois et la joie d’être ensemble. De ces corps à corps, il restera ces mots-là. Je suis en plein dedans. Parmi mes lectures de mars, c’est probablement la plus intense et la plus romantique.
Felicità de Serena Giuliano
Je n’ai jamais ouvert un roman de Serena Giuliano et je ne me l’explique pas. Je vais donc débuter avec Felicità, qui suit Valentina, organisatrice de mariages sur le lac de Côme en Italie. Elle adore son métier mais elle a le coeur brisé: elle n’arrive pas à surmonter le deuil de sa meilleure amie, Azzura. La seule chose qui la fait tenir, c’est la fille d’Azzura, Bianca, âgée d’un an. Ensuite? Je ne sais pas à quoi m’attendre. Je me lance et je vous reviens. Mais je pressens l’histoire aussi douce qu’amère. Du genre qui fait rire et pleurer à la fois. Petit détail: je trouve la couverture de ce livre paru chez Robert Laffont très jolie.
La vie heureuse de David Foenkinos
J’ai acheté La vie heureuse de David Foenkinos (Gallimard) après l’avoir vu en interview sur Welcome to the Jungle. Pour lui, la plupart des gens ne sont pas très heureux en télétravail. La vie heureuse, c’est une histoire d’amour sur 30 ans où un homme et une femme vont pouvoir expérimenter leur propre enterrement. C’est un rituel qui existe vraiment en Corée, pour info.
Quelqu’un d’autre de Guillaume Musso
Les critiques que j’ai lues sont positives: parmi mes lectures de mars, j’ai décidé de laisser une chance au dernier Guillaume Musso. Quelqu’un d’autre (Calmann Levy) se déroule au large de Cannes. Sur un yacht à la dérive, Oriana Di Pietro, éditrice italienne et héritière d’une grande famille milanaise, a été agressée sauvagement. Dix jours de coma plus tard, elle décède. Qui a tué Oriana?
Quatre versions s’opposent: celle d’Adrien, le mari de la victime, pianiste de jazz mystérieux; celle d’Adèle, sa maîtresse; celle de Justine, la policière en charge de l’enquête et celle d’Oriana, qui raconte ses dernières semaines de vie. Personne ne ment, mais personne n’est d’accord sur la vérité. Et c’est pour ce “slogan-là”, ces deux petites phrases, que je me suis dit que j’allais le lire. Parce qu’au final, dans la vie, c’est souvent pour ça qu’on s’embrouille: tout le monde croit avoir raison sur un même sujet.
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