J’aime dire que quand on est mère, on doit choisir ses combats. Ca ne sert à rien de s’énerver à la fois parce que votre enfant gigote à table, qu’il s’enfuit en courant quand vous aimeriez bien l’habiller ou qu’il met ses mains partout où il ne faut pas. Si on chipote pour tout ou qu’on durcit le ton à la première occasion, l’enfant n’écoute plus parce que les remontrances n’ont plus aucun impact.
Parmi les combats que j’ai choisi de ne pas mener : lui interdire de toucher à mes affaires. Bien sûr, je répète mollement : « Noooon, pas ça » quand il attrape mes lunettes ou qu’il se met à caresser avec envie le clavier de mon ordinateur. Mais sinon, je laisse couler, je planque le plus fragile et je ne dis rien quand il joue avec mes carnets de note ou mon mascara (fermé).
Parmi les objets les plus résistants et les plus agréables à notre vie de famille : le baffle nomade Wonderboom. Il n’est pas nouveau nouveau mais je l’aime beaucoup alors je partage le bon plan… Je n’aime pas non plus l’idée d’interdire à mon fils de s’en prendre plein les oreilles (je ne parle évidemment pas du volume…). La musique, ça nous motive, ça marque les plus beaux/tristes moments de notre vie, ça peut modifier notre humeur du moment, nous pousser à faire des plus grandes foulées sur le bitume ou nous permettre de nous détendre profondément. J’ai envie qu’il connaisse ça dès que possible, qu’il ait des sensations et des souvenirs liées à des chansons. En prime, son père est musicien, il a le droit de toucher aux guitares, au piano, au ukélé, au micro s’il veut, donc au baffle aussi.
On adore commencer la journée en musique et elle nous accompagne aussi souvent à l’heure de l’apéro. Vu que la musique est surtout présente lors de nos moments de détente, je n’ai donc jamais envie de me prendre la tête avec des considérations techniques compliquées.
En plus d’être joli avec ses bords arrondis et ses couleurs énergiques, le Wonderboom libère un son tout à fait convenable (à 360 degrés et avec des bonnes basses) pour sa gamme de prix. Il ne coûte que 100 euros et sa résistance m’épate. Je précise encore que je ne suis pas payée pour le dire, c’est sincère! On me l’avait vendu waterproof. Je confirme. On ne le laisse pas dix heures immergé mais il peut malencontreusement tomber dans une piscine ou une baignoire remplie d’eau sans que ça pose le moindre souci. Je ne sursaute donc pas à chaque fois qu’Ezra l’approche. On peut aussi le laver, chose plutôt pratique quand on a un enfant en bas âge pas très regardant.
Je vous parlais de sa résistance : il est effectivement solide. Ezra le manipule avec la « douceur » caractéristique de ses deux ans : le Wonderboom tombe souvent et encaisse les coups sans sourciller. Ca fait un an qu’on l’a et il est toujours aussi joliment dodu, sans blessures visibles sur sa carcasse orange. Autre avantage: il ne pèse pas lourd, il a fait le trajet en Californie depuis la Belgique dans nos bagages.
Pour le faire fonctionner, rien de plus simple : il y a un bouton on/off qui permet de l’allumer. On garde son doigt quelques secondes dessus pour qu’il détecte le smartphone avec lesquel s’associer en bluetooth. Une fois connecté, en avant la musique… Ezra nous en réclame souvent et il se déplace, heureux, avec le baffle contre son cœur.
Seul petit regret : le Wonderboom ne dispose pas de cable auxiliaire. La seule entrée disponible est destinée à un cable de recharge. Du coup, si votre ordinateur ou votre projecteur ne détecte pas le bluetooth, impossible de le relier au baffle pour profiter du bon son. Dommage. Ca n’en reste pas moins un achat malin !
Je vous laisse lire les détails techniques ici.