Eva Mendes est maman de deux filles: Esmeralda, 8 ans, et Amada, 6 ans, qu’elle a eues avec Ryan Gosling. Les stars sont discrètes sur leur vie amoureuse et familiale.
Eva Mendes vient d’accorder une interview à la presse australienne dans laquelle elle se confie sur sa vision de la parentalité et vu que j’aime bien ce qu’elle raconte, je vous partage ça ici.
Remettre sa parentalité en question à mesure que l’enfant grandit
Quand on lui demande si elle aime être maman, Eva Mendes répond en souriant: “Ça dépend des jours, ça dépend de la période du mois.”
Déjà, ça démarre bien: j’aime bien les gens qui ne font pas croire que tout est toujours facile et merveilleux.
Elle explique que la parentalité la pousse à travailler sur elle. “J’aime vraiment l’idée de réapprendre à être parent en même temps que j’élève mes enfants.”
Parce que oui, on n’est pas le même parent face à un enfant de 2 ans que face à un enfant de 8 ou de 12. Il faut sans cesse redistribuer les cartes et s’adapter à un nouveau jeu.
Les défis ne sont pas les mêmes et les solutions proposées par le parent non plus, forcément.
Pour Eva Mendes, être une bonne maman, c’est se faire passer avant ses enfants
Comme Véronique Gallo, Eva Mendes applique le “moi d’abord, les enfants ensuite” pour être la meilleure mère possible.
“Être parent peut être parfois exaspérant, ce sont les petites choses qui me rendent folle”, admet-elle.
“Si je ne travaille pas sur moi, si je ne vais pas en thérapie, si je ne prends pas soin de moi, si je ne vais pas faire une promenade quand je sens que je ne vais pas bien gérer quelque chose, alors je ne suis pas la meilleure maman possible… Donc je travaille toujours sur moi-même en premier.”
Pas de dynamique “bon flic – mauvais flic” avec Ryan Gosling
Eva Mendes et Ryan Gosling ne jouent pas la carte du “bon flic – mauvais flic”. “Nous sommes plutôt du type parleurs. Nous voulons parler de tout. Nous essayons de dire aux filles qu’elles ont droit au chapitre.”
“Ça ne veut pas dire qu’elles vont obtenir tout ce qu’elles veulent, mais elles ont une voix, alors parlons-en tous ensemble.”
Savoir que la vie est fragile permet de relativiser
Enfin, Eva Mendes sait la fragilité de la vie et ça influence forcément sa façon d’être maman. “J’ai perdu mon frère d’un cancer il y a quelques années.”
“Depuis, quand je suis dans un moment de frustration où je répète: Où sont tes chaussettes? Où sont tes chaussures?, je réalise que rien de tout ça ne compterait si nous n’étions pas en bonne santé.”
“Si nous ne sommes pas en bonne santé, alors nous n’avons rien.”
Ça lui permet de relativiser et d’être pleine de gratitude pour la famille qu’elle a fondée.
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