Les indispensables de mon confinement

by seayouson

Le déconfinement est en marche mais on est toujours invités à rester, autant que possible, à la maison. Je ne sais pas comment ça se passe chez vous à ce niveau-là, mais moi, il y a quelques objets qui me sauvent en cette période de confinement absolument inédite et… autant se l’avouer un peu longue et monotone. Soit parce qu’ils permettent d’occuper mon fils, soit parce qu’ils effectuent les corvées à ma place, soit parce qu’ils me divertissent.

Pour travailler et se divertir

Le premier objet indispensable à ma survie est clairement mon nouvel ordinateur. Après des jours et des jours de comparaison et de tergiversation, j’ai fini par acheter, à la toute fin de l’année passée, le nouvel ordinateur Microsoft Surface.

Je ne savais pas qu’on pouvait tomber amoureuse d’une machine. Je l’ai pris en rose doré. En plus d’être beau et léger, il est performant et tactile. C’est mon outil de travail, mais c’est aussi lui qui me permet de regarder mes séries sous la couette.

Il a remplacé ma tablette tactile. Il est tout terrain. En période de confinement, que ce soit pour une nécessité de télétravail ou pour regarder Netflix, l’ordinateur portable s’avère indispensable.

Pour exiger le silence sans un mot

Toujours au rayon techno, je quitte rarement mon casque Bluetooth Sony. Des sites spécialisés tels que ma reduc proposent de nombreux codes promos pour shopper ces articles. Je ne mets même pas forcément de la musique dedans. Mais le fait de l’avoir sur mes oreilles montre à ceux qui m’entourent que je ne souhaite pas être dérangée.

Il permet, même sans son diffusé, de m’isoler du bruit, ce qui est important vu que je télétravaille avec un enfant en bas âge, en demande d’attention et donc assez bruyant, dans les parages. Il y a plein de casques sur le marché.

Pour cuisiner vite fait bien fait

Autre objet dont j’ai du mal à me passer : mon robot pâtissier. Vu qu’on est tous devenus Cyril Lignac (ou Maïté, pour ceux de l’ancienne époque) depuis le début du confinement, franchement, ça aide. Vous êtes nombreuses à m’avoir déjà demandé comme le choisir.

Je dirais d’opter pour une cuve en inox profonde et des accessoires là aussi en métal plutôt qu’en plastique. Il vous faut idéalement un batteur, un crochet et une feuille parmi les accessoires fournis. Avec ça, vous pourrez tout faire : des pâtes fraîches, du pain et des gâteaux.

Vous avez les idées et la recette, il fait le boulot. Depuis que j’ai un robot, je me demande comment j’ai pu battre des œufs en neige avec un simple fouet à main. J’ai un robot en Californie, un autre en Belgique.

Mon robot belge est le Moulinex Master Chef Gourmet et je n’ai pas grand-chose à lui reprocher si ce n’est son blender en plastique. Je préfère, et de loin, un blender en verre. C’est nettement plus facile à entretenir sur la longueur. Et évidemment, c’est plus solide.

Pour jouer

Quatrième indispensable en période de confinement : des jouets pour mon fils. Certains peuvent penser que je le gâte trop, mais, déjà, il est fils unique et je ne vois pas pourquoi je devrais me priver tant qu’il reste charmant et reconnaissant et j’ai surtout envie de lui proposer des activités adaptées à ses 4 ans et stimulantes, pour continuer à l’éveiller au monde.

Comme la plupart des enfants de son âge, il ne va pas à l’école pour le moment, je réponds à ses besoins pour cette période de suspension soit la plus agréable, utile possible. Et puis aussi, pour qu’elle passe plus vite. Ici, on est hyper fans de Lego et c’est normal : on peut construire, déconstruire et recommencer à l’infini. C’est un peu pareil avec les circuits de train, dont il ne se lasse jamais.

Ezra est à l’âge où on peut enfin jouer à un jeu de société sans qu’il ne devienne fou parce qu’il a perdu. Et désormais, il comprend les règles. On peut essayer des jeux un peu plus élaborés. Du coup, on enchaîne les parties endiablées. L’avantage, c’est qu’à cet âge, les parties de jeu de société sont courtes. On peut donc en faire plein. Pas de lassitude possible. Ni pour l’enfant ni pour le parent.

Pour lire

Je ne quitte pas non plus ma tablette Kindle depuis le début du confinement. Nos nombreux voyages m’ont poussée à acheter une tablette de lecture et c’est, honnêtement, un des meilleurs achats de ma vie. Et pourtant, j’ai eu du mal à m’y faire au départ…

J’aime le contact physique du papier qui se froisse et qu’on tourne avec frénésie. J’aime toujours son odeur aussi, mais je manque de place pour stocker mes livres et ça commençait à me freiner sur mes achats et donc sur mes lectures.

Je suis en pleine frénésie de lecture pour le moment, probablement parce que ça nourrit ma vie intérieure… J’ajoute des dizaines de livres à ma pile de lecture sans complexe vu que ça ne prend pas de la place.

Pour chiller

Ce n’est pas vraiment un objet, mais c’est évidemment le truc dont je ne sais pas me passer et je crois que c’est pareil pour tout le monde : je ne vis que dans des tenues confortables. Soit en short, quand la météo le permet, soit en combo jeans-sweat à capuche-baskets.

Je ne dis pas que je ne serai pas contente de retrouver mes talons hauts, mes slims et mes vestes cintrées à la fin de ces bien trop nombreuses semaines d’enfermement, mais en attendant, je travaille mon style d’intérieur sans culpabiliser et sans trop dépenser.

Quelles sont, chez vous, les choses dont vous ne savez pas vous passer en cette période qui nous pousse à rester entre nos quatre murs ? Avez-vous des incontournables, des alliés technologiques qui vous permettent de mieux organiser vos journées ?

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